mardi 4 décembre 2007

Michael wolf


Ici c'est la nature qui envahi la ville. A la fois imprévu dans le parcours du promeneur et vestige de temps qui passe. Cet évènement eveille notre imaginaire. Depuis quand cet arbre est il ici? Est-il apparu avant le mur qu'il cotoie? La ville succite la curiosité du passant, non pas parce qu'elle est mouvante mais parce qu'elle possède quelque chose d'imprevu. La ville est alors ouverte à la manière dont umberto Eco nous parle d'ouverture pour un tableau, un livre, qui peuvent être interprétés différemment par chacun.

Une ville qui vit c'est une ville qui interpelle, qui surprend. Il faut laisser l'imprévu s'insérer. Laisser le temps prendre place.

1 commentaire:

Helene a dit…

leopold a fait aussi plein de photos de ces arbres en chine, impressionnant de voir la nature "reprendre le dessus"! ça me fait penser au batiment-forêt de SITE.