samedi 3 novembre 2007

Je crois que cette attirance vient du fait que la ville nous apparaît aujourd’hui comme le résidu des siècles, « une sorte de survivance fragile qui risque d’être submergée tôt ou tard par la mégalopole » comme l’a écrit Stéphane Gruet (La ville ordre et désordre).
La fragilité inscrit les lieux en attente dans une autre temporalité, ils peuvent disparaître à tout instant, ou se transformer…

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